mardi 11 septembre 2007

Les placarts de la justice

En réaction à cet article du Devoir intitulé : « Alain Olivier accuse les policiers de la GRC d'avoir menti à son procès »



Malheureusement, la pratique du mensonge devant les tribunaux est chose courante, et pas seulement de la part des officiers de police. Dans le domaine familial, la scène relève plus souvent qu'autrement du burlesque. Le plus curieux en cette matière, c'est de constater la complaisance des juges à cet égard. Même s'il s'agit d'une infraction au code criminel, la situation ne semble indisposer en aucune façon les petits fonctionnaires véreux en toge de juge, dûment informé de la situation. Et malheur à celui qui oserait s'insurger contre cette vilénie, sans égard au fait qu'elle tourne en dérision l'administration de la justice et mine la confiance du public, déjà passablement étiolé, eu égard à cette institution qui a définitivement perdu toute légitimité.

La mode présentement en vogue consiste à mandater des commissions d'enquêtes à tout propos, sans égard aux volontés exprimées par le peuple. Devant ce constat, comment expliquer qu'aucun journaliste, ni aucun politicien, n'ose commenter une légitime demande de Commission Royale d'Enquête sur l'Administration de la Justice au Québec? Y aurait-il des squelettes nauséabonds de dissimulés dans les placards des palais de justice? Les miasmes qui en émanent commencent à polluer l'atmosphère des institutions administrées par un gouvernement administré par des eunuques et des pleutres.

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Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001